vendredi 8 février 2008

"you say you want a revolution ... "

Douce révolte. La plus déchirante de toutes. Elle a frappé tout doucement et qui prend maintentant place. C'est qu'un vieil ami qui saute dans son auto à chaque fois qu'il vous voit. C'est qu'une clope fumée trop lentement et ces pas qui restent trop longtemps à cette aguichante neige dans laquelle j'irais parfois faire un tour. C'est et ca ne resrtera qu'une personne qui vous pousse du coude en vous disant "ok, ok" pour vous faire fermer quand ce que vous voulez, c'est un sourire des plus chauds. C'est une douce révolte que seuls mes yeux et mes mains ne peuvent sentir. Bien sur, puisque le reste est engourdi. C'est un vieux cinoche dans lequel on ne peut pas attendre dehors pour avoir son billet. C'est cette bière que j'ai laissé sur le comptoir l'an dernier...C'est toujours un beat répétitif quand t'entends que la guitare. C'est qu'une autre de ces révoltes . Celle qui ne prend pas aux trippes, mais partout autour. Ce n'est même pas une écoeurantite aïgue ... C'est un état calme et non émotif constant. C'est surtout la certitude que l'on pourrait danser, mais qu'on reste au coin du bar à parler du beau temps et de la pluie d'Hier . C'est cet état dans lequel on reste assis mais où on bouge le plus. C'est le chapeau noir un peu haut de l'acteur qui rit pour pleurer.

3 commentaires:

Zéa a dit…

C'est marcher dehors à trois heures du mat. avec les doigts qui sentent l'herbe?

Caro a dit…

C'est surment aussi fermer les yeux le plus fort qu'on peut quand quelqu'un venait de nous les ouvrir.
xxx

Ja a dit…

Je suis entièrement d'accord caro et zéa aussi même si euhhh oui lol !

Qui êtes-vous ?

Ma photo
" Despite all my rage Im still just a rat in a cage" (bullet with butterfly wings, smashing pumpkins)