samedi 24 mai 2008

Everytime i give you reasons

Les saisons qui passant dans mes poches mouillées délavées sont devenues La norme j'ai vu ton pied s'écraser en hiver et au printemps et moi de même m'écraser en hiver et au printemps. j'ai la prétention d'interpréter, jai cru voir d'autres gens faire de même , en riant un peu de manière gentille , je les apprécie jai pensé un peu a traîner un peu plus proche ... dans une escapade dehors, en manque de pureté "nicotinaire " , j'ai pu traîner autour pour une fois et une seule sans masque t'as suivi la course autour de rien , autour de moi qui t'avais pas vu , c'est bien l;a seule fois, et plus tard tu attendais rien sur la table. T'attendais , t'attendais , et j'ai rien dit et rien fait et jai monté sans un mot, et tas pas souri , t'es simple tas pas la notion compliquée , une porte , on peut s'y heurter ou bien y cogner ..ou pas ... c'est selon
Bien,
Il y a ce goût dans ma bouche ,
Un goût certes connu, ami.
Et il roule jusqu'aux cordes, il roule jusqu'au cordes.

Il y a cette même odeur dans tout l'appartement, cette same odeur partout .
Hier,

des étincelles de fumée
des parcelles de vie
Je les écrase du pied
C'est comme ca qu'elles s'éteignent

Des étincelles de fumée,
que je regarde flétrir

Des étincelles de fumée ,
que j'ai auparavant fumées

Des étincelles de fumée qui s'éteignent sur le bois mouilléé

lundi 5 mai 2008

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se perdre, oublier, ce qui vient de se passer dans l'espace entre mes 2 oreilles
Penser à autre chose, sérieux, par exemple.
Ah oui du sérieux. 
Et prendre quelque chose au sérieux, 
sauf ceci ...
Et penser, et croire, à autre chose qu'à ca. 
C'est dégradant et essouflant
oublier de plaire, oublier de ne pas vouloir plaire 
qu'a cet arbre , gris. 
ces paroles incompréhensibles prouvent bien la mort qui vient, la mort 
revenir au gris, au vert.  croire en ce que je crois, et oublier oublier oublier, forget forget forget 

mes 2 oreilles, surtout ce qui se passe entre eux, c'est pas de l'amour , en tout cas, 
plutot une merde crue. une merde. 

Par chance  il y a toujours ces certitudes, prêtes à reprendre le chemin, 
parfois on oublie le statut  le but le pourquoi 
de.

oublier de reprendre ce souffle de peau, oublier de reprendre le chemin, ne pas y aller. 
c'est bien comme ca , c'est un chemin connu, tout est chemin, surtout connu .

Demain, avant dernier jour de cours, dernier jour à Jonquière. 


Qui êtes-vous ?

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" Despite all my rage Im still just a rat in a cage" (bullet with butterfly wings, smashing pumpkins)