vendredi 8 février 2008

"you say you want a revolution ... "

Douce révolte. La plus déchirante de toutes. Elle a frappé tout doucement et qui prend maintentant place. C'est qu'un vieil ami qui saute dans son auto à chaque fois qu'il vous voit. C'est qu'une clope fumée trop lentement et ces pas qui restent trop longtemps à cette aguichante neige dans laquelle j'irais parfois faire un tour. C'est et ca ne resrtera qu'une personne qui vous pousse du coude en vous disant "ok, ok" pour vous faire fermer quand ce que vous voulez, c'est un sourire des plus chauds. C'est une douce révolte que seuls mes yeux et mes mains ne peuvent sentir. Bien sur, puisque le reste est engourdi. C'est un vieux cinoche dans lequel on ne peut pas attendre dehors pour avoir son billet. C'est cette bière que j'ai laissé sur le comptoir l'an dernier...C'est toujours un beat répétitif quand t'entends que la guitare. C'est qu'une autre de ces révoltes . Celle qui ne prend pas aux trippes, mais partout autour. Ce n'est même pas une écoeurantite aïgue ... C'est un état calme et non émotif constant. C'est surtout la certitude que l'on pourrait danser, mais qu'on reste au coin du bar à parler du beau temps et de la pluie d'Hier . C'est cet état dans lequel on reste assis mais où on bouge le plus. C'est le chapeau noir un peu haut de l'acteur qui rit pour pleurer.

dddd

Deep and strong...

Ces mots ont tellement étés pronnoncés de ma bouche ... (pas qu'ils ne soient vécus pas moi, mais ce sont des mots qui sortent souvent quand je suis ds le boutt...)Est-ce que la profondeur va avec la force, ca j'en ai aucune idée ...mais au moment où elle me demande: est-ce que c'est vraiment ta place , une voix plus forte qu'à l'ordinaire me dit : ne laisse jamais personne te bloquer le chemin.

mercredi 6 février 2008

points de suspension

Si j'avais les ailes d'un ange je partirais pour ...  peu m'importe la destination. Ce manque ou ce trop-plein doit être chronique. Dans mon cas, ca se fait seulement dans ma tête et j'agis que très peu souvent , mais tout de même (qu'une seule fois cela s'est réalisé) ... J'ai ce bordélique besoin de tout quitter , pour tout reconstruire, et ensuite tout requitter , et ensuite tout rereconstruire. C'est d'une clarté pour moi alors.... hum hum .... Hier dans ce cours, tout s'est transformé en suspens, tout s'est métamorphosé . stop. stop. stop. wôôô ... Et je me suis mise à pleurer. Moi qui braille tout le temps pour rien, la je l'ai fait pour tout. Complètement instoppable , je continuais à déblatérer et à bouger un peu trop mes bras. Vous savez, comme je le fais toujours un peu trop ... C,est que tout est un peu débalancé . D'ailleurs mes jambes aussi , se sont balancées et ont repris le rythme de mes reniflements sur le bureau. Pas de sentiments. Du moins pour ce furieux besoin de voir plus loin. 

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" Despite all my rage Im still just a rat in a cage" (bullet with butterfly wings, smashing pumpkins)