samedi 6 décembre 2008

glaçon

 éxécrable nuit ou je ne ferme pas l'oeil
effrayant réveil ou je me mets à ne plus penser

glace effrayée 
de me voir si agitée.

j'ai cette peur ancrée de ne plus y penser , antithèse de mes anciennes nuits 
le temps est si long. le temps est si long et si mortel.
la vérité se cache sans cesse sous mon oreiller 
jusqu'à.
jusqu'à ne plus finir mes phrases jusqu'à ne plus avoir un petit espace pour penser d'autre chose
-que c'est bien ainsi...-


jeudi 4 décembre 2008


Ce soir , je savoure la fausse solitude d'une brosse familiale.
Je me permets de dire que je bois amèrement aux défaites .
Aux défaites sociales, mais surtout de l'humanité . Je me permets de dire 
que je bois à l'humanité. À tout ce que l'homme peut faire ou pas pour s'auto-suicider.

Quelques conversations révoltées et quelques bières m'aident à assumer ma révolte.(je sais j'en parle tout le temps de cette révolte et c'est pas demain la veille que je vais arrêter. )
Je bois aussi à l'absence flagrante de leadership qui s'est présentée sous mes yeux ce midi...et de lâcheté.

Oui, c'est un découragement. Oui . Parce qu'il en faut pour fesser plus fort. 

Je bois pour les certaines larves et mollusques que rien n'affectent et qui font partie de ma génération. Dont je fais partie. Par chance, personne de mon cercle d'amis n'en fait partie .merci.

Je bois pour mieux la vomir.
Et pour avoir plus d'espoir ...demain matin.








Une presque tempête sur le village
Et pour une rarissime fois, le calme plat dans ma tête.

Des éclats de glace atterrissent dans les fenêtres
d'ou je peux sentir le froid qui s'infiltre
seulement sur mes pieds

ma tête est au chaud. Comme il y a longtemps. Comme ...

dimanche 30 novembre 2008



Bon bon bon jsuis tout simplement incapable de ne pas changer de couleurs une fois de temps en temps ....déformation de fille.

samedi 1 novembre 2008


J'entends le ¨sillement¨dans mes oreilles....


                                                                    


                                                                                   Le vide.




Des traces délavées coulent sur les lattes en bois du plancher.



Je n'entends plus la voix.



Seules mes mains , à demi-fermées me rappellent que je tiens un appareil qui fait un son récurrent dans mes mains.


Parfois , je ne pense seulement plus.


vendredi 31 octobre 2008

les fils...



J'ai suspendu dans les airs
d'imaginaires fils qui prennent toute la place

les suspendre, et garder les réels par terre, pour ne pas qu'ils s'envolent
parce qu'on y tient 

Écrire en grosses lettres noires sur ces fils, 
des mots, qui ne veulent rien dire pour personne

pour personne qui ne les comprends, qui ne les sent 

je regarde souvent ces fils, ceux qui sont réels , de réels vérités,  réelles joies 

palpable.


mercredi 29 octobre 2008


Si j'écris maintenant , c'est que cette action me fait l'effet d'un instrument qui enlèverait le pue d'une plaie .  
Pour un certain temps , le pue ne réapparaîtra qu'en surface et je serai capable de me dire en soupirant que plein d'autres vivent ces situations et que ... et que ... et que, et que , et que ...foutaises. se raconter des trucs pour être capable de croire que l'on se retient mieux à l'arbre pendant l'ouragan.
Si j'écris maintenant et pas tout à l'heure c'est une raison bien inutile à savoir ...
 que je sache moi-même pourquoi je le fais pourquoi je vis d'un noir imaginaire mes conneries réelles. 
si jecris de cette façon c'est alors tout simplement pour.
je tends les fils de mon cerveau à .
faire autre chose que de ne pas se refaire.


écrire d'incompréhensibles trucs qui font du bien.




jeudi 2 octobre 2008



J'avais besoin de changement sur le blog ... ! 

impression de déja vu 
sanglante peinture 
se sentir loin 
voir rien
rien voir
et ne pas se faire voir


c'est pas du sang ... c'est de la peinture 
de l'artiste qui m'a pêté la face 
je ne veux plus regarder par cette fenêtre 
et y voir quelque indéfinissable
y voir .

je ne peux dire qu'est ce que j'y vois 
des mécanismes que je crée moi-même
entravent ma vision 

c'est une douce amertume 
que je ne développe 
qu'en cas de réels questionnements 
qui ne sont plus 

c'est aussi le cas d'une foule projetée 
mélange de rage de communion et de force et d'auto-haine, 
sentiment malheureux d'être réel, et d'aller
pour et contre les lois humaines
dans le même jeu qui se trouve être tout sauf un jeu 



lundi 22 septembre 2008


Poussière de rien, ne pas vouloir vivre une vie normale , ne pas s'asseoir, je veux ressentir le vent et le froid, avec le sourire, se faire asperger de fumée de players par la fille qui lit l'alliance de la brebis à côté de moi, il est 23h30, et le bus devrait partir, mais il part, et je me tords le dos, toujours avec le sourire. je cherche en vain une position mais mon dos me rappelle que je ne peux dormir. je cale 4 advil (ok, 2) pour tenter de faire taire la seule chose qui pourrait me faire sacrer pour vrai en ce moment jusqu'à ce que je me retrouve dans ce FOUTU lit . Avec moins de sourire par contre. Marcher pour essayer de ne pas vivre cette nostalgie de tout, essayer de chanter ce bout de chansons le moins possible en me relevant la tête et en voyant que tout le monde le chante pour moi. Pour faire ressortir le tout. Merci. tenter de garder les pieds sur terre , de s'encrer dans la réalité p-r-é-s-e-n-t-e. Mais tout en sachant intérieurement quel bon exutoire ca fait ... Et rêver 14 fois par nuit pendant 10 secondes chaque. Parce que sinon c'est occupé par ... par du pensage de matière grise. 

samedi 6 septembre 2008

révolte quotidienne assumée


Je ne veux pas me plaindre, en fait en ce moment, ya que trop d'idées dans ma tête, c'est un sacré classique . je suis supposée être en train de danser comme une folle sur une piste de danse mais je suis trop ...trop je sais pas. trop tout court . je pense toujours je suis siiiiii chanceuse et jarrive tout de même a pleurer , et pourtant cestun peu sain de pas être entourée de substances qui gèlent en ce moment... le moment est dur à passer , mais passera. Je le prends comme un défi soit je sais que ca ne sert a rien pour ne pas penser. pour ne pas penser.je nai qua m'occcper. mais c'est pas pareil . Je pense qu"à ce moment de l'année ...que l'on peut nommer été . Oubliez la premiere phrase , j'assume d'avoir un peu envie de partager le fait que ca feel pas tjs top . ...

........
Les rires en trame de fond me font penser a un restaurant remplis de bourges jai envie de jeter toutes les tables par terre pour les faire réagir , les faire sortir de leur trou rempli dor, de faux or acheté ds un marde de magasin de bourge ou lon vous sert avec des gants ...pour ne pas vous toucher . pour ne pas vous toucher. comme la peste comme la mort comme la merde . Je suis révoltée  ca marrive parfois , ca marrivait souvent, ca marrive encore  et ca marrivera toujours... évidemment . Ca aussi cest un classique . un mignon petit symbole de révolte de marde. cest surment pour ca cest surement pour ca que je les vois s,entretuer. Les pseudos rires que jentends encore sont si faux qu'ils me rapent la gorge quand j'essaie de leur crier qu'ils me dégoutent . dégoutent est un mot si faible , si ¨bien choisi ¨... 

Peur d'en devenir une.

lundi 25 août 2008

Bofff...

13h55 . Dimanche après-midi. N'importe ou dans le monde ... à qc je crois.

Une fille s'adosse sur un poteau pour laisser partir son frère. Les yeux pleins de larmes , elle me sourit. Les yeux pleins de tout, je lui souris aussi fort que je peux ...

Dimanche p.m . Je compte les lattes sur le plancher.

Lundi matin . Je rentre dans ce qu'on appelle le cégep et j'ai un haut le coeur. " what the hell am i doin' here???(merci radiohead et)(placer p'tite note de musique)C'est que la question se pose encore et toujours . Hâte que ca finisse. Pas le cégep (ben ...aussi), les questionnements sur "qu'oss que j'vas foutre ds vie "et tout ce bla-bla existentiel (premiere journée tk ! everything will be all right hein?=))lol Cet après midi, ce soir et maintenant j'ai un creux . Mais où sont tous les gens ??? Et qui sont ceux qui dorment de l'autre côté du mur de carton ?? Je ne sais pas ...

C'était ja dans une bout de soirée vraiment bizarre .


Mardi matin . On n'y est pas encore rendus . J'oubliais.

mardi 12 août 2008

Pitchage de trucs :)

J,Ai un besoin fou de dire à tout le monde que je les aime j'ai la tête pleine d'idées floues, grandes. jai la tête pleine d'idées comme en cavale je ne questionne plus mon organe vital, je vis sur un immense fil séruritaire

Quelques taches qui ne partent pas et c,est très bien ainsi DU sable , beaucoup du sable, du grand beaucoup de grand, Comme le bonheur que j'aurais pu mettre dans un sceau pour enfant. J,aime la vie, et elle semble m'aimer beaucoup ces derniers temps. Des bouts de toits , des roches partout Du thé et des autos , des roads trips et des endroits importants

Une larme refoulée .

jeudi 17 juillet 2008

I'm leaving like a stranger

J'suis partie vraiment vite, j'ai quitté le bord, j'ai pris le vent et je l'ai suivie, seule avec lui .

En pouvait plus, se sentait solitaire et voulait voir autre chose .

J'aurais voulu déguerpir plus rapidement, plus sauvagement, plus raide, crisser des chaises à terre, péter la porte je sais pas moi .

Les cheveux tout pognés dans le vent , je "pitche" mon vélo par terre, mes clés tombent dans le sable, je les trouve pu . Mes sandales restent prises dasn mes pieds . Je les lance le plus loin possible. Soit , je ne les retrouverai plus, je retourne chez nous comme une va-nupieds .
Et les paroles me reviennent en tête.
I told you when i came i was stranger (Leonard Cohen).

mercredi 16 juillet 2008

Un post pseudo réaliste cette fois -ci .

Je quitte Rimouski dans moins d'un mois, le plus vite possible, prendre mes jambes à mon cou, NON , ce n'est pas de la fuite .

Percé quelques jours, retrouver ma réalité, la vraie vie , la ou je vis vraiment . 10 ans ...

Va s'ennuyer de vous et faire la cucul.

Va envoyer promener les 2 connes et mettre des plasters dans ... hu, hum(merci zéa :P)

Va tripper à JOnquière
et ... y arrive bientôt .Tout de suite . Miam.

mardi 17 juin 2008

Une impression ...c'est un rapide coup d'oeil , sur tout, sans trop y porter d'.attention. Mais assez pour un article ...

Une impression, futile j'espère, et légérement redondante..(!)de sonner l'.alarme et les gens, sans le savoir, et surtout sans le vouloir. Essayer de faire moins de gaffes.

Souvent cette idée pousse à des choses,, à me sentir de trop dans la marre avec les canards.

Avoir peur d'avoir l'air de ce qu'on est pas .

Voir . la. vie . et la dévorer. but de vie .

(au moins un de réalisé)

Tout ca pour dire que la vie est belle. Oh oui! Mais la gaffe, elle, elle m'aime . :)

samedi 24 mai 2008

Everytime i give you reasons

Les saisons qui passant dans mes poches mouillées délavées sont devenues La norme j'ai vu ton pied s'écraser en hiver et au printemps et moi de même m'écraser en hiver et au printemps. j'ai la prétention d'interpréter, jai cru voir d'autres gens faire de même , en riant un peu de manière gentille , je les apprécie jai pensé un peu a traîner un peu plus proche ... dans une escapade dehors, en manque de pureté "nicotinaire " , j'ai pu traîner autour pour une fois et une seule sans masque t'as suivi la course autour de rien , autour de moi qui t'avais pas vu , c'est bien l;a seule fois, et plus tard tu attendais rien sur la table. T'attendais , t'attendais , et j'ai rien dit et rien fait et jai monté sans un mot, et tas pas souri , t'es simple tas pas la notion compliquée , une porte , on peut s'y heurter ou bien y cogner ..ou pas ... c'est selon
Bien,
Il y a ce goût dans ma bouche ,
Un goût certes connu, ami.
Et il roule jusqu'aux cordes, il roule jusqu'au cordes.

Il y a cette même odeur dans tout l'appartement, cette same odeur partout .
Hier,

des étincelles de fumée
des parcelles de vie
Je les écrase du pied
C'est comme ca qu'elles s'éteignent

Des étincelles de fumée,
que je regarde flétrir

Des étincelles de fumée ,
que j'ai auparavant fumées

Des étincelles de fumée qui s'éteignent sur le bois mouilléé

lundi 5 mai 2008

Retour



se perdre, oublier, ce qui vient de se passer dans l'espace entre mes 2 oreilles
Penser à autre chose, sérieux, par exemple.
Ah oui du sérieux. 
Et prendre quelque chose au sérieux, 
sauf ceci ...
Et penser, et croire, à autre chose qu'à ca. 
C'est dégradant et essouflant
oublier de plaire, oublier de ne pas vouloir plaire 
qu'a cet arbre , gris. 
ces paroles incompréhensibles prouvent bien la mort qui vient, la mort 
revenir au gris, au vert.  croire en ce que je crois, et oublier oublier oublier, forget forget forget 

mes 2 oreilles, surtout ce qui se passe entre eux, c'est pas de l'amour , en tout cas, 
plutot une merde crue. une merde. 

Par chance  il y a toujours ces certitudes, prêtes à reprendre le chemin, 
parfois on oublie le statut  le but le pourquoi 
de.

oublier de reprendre ce souffle de peau, oublier de reprendre le chemin, ne pas y aller. 
c'est bien comme ca , c'est un chemin connu, tout est chemin, surtout connu .

Demain, avant dernier jour de cours, dernier jour à Jonquière. 


lundi 21 avril 2008

?!?!

 
Fin de semaine assez cool pour une fin de semaine un peu absente ... abuser, pas malin... Mais si agréable ! ....

C'est du ketchup .... et c'est bon ! 

vendredi 11 avril 2008

Ballade forcée

Ca y est . J'ai vu, encore.
Quand il a embarqué dans l'auto, je n'ai rien dit.
Passe quelques minutes, et encore d'autres, pour que quelqu'un se réveille, et parle.
"J'ai rien à dire tsé!"
Bon, ok, j'avoue comme première phrase, il aurait pu se forcer, surtout
que l'on déambulait dans la ville pour rien et que l'autoroute approchait dangereusement...
On a roulé comme ca , longtemps, à parler en disant rien, en faisant les quétaines (parler sans rien dire ...oh my goddd...j'ai dit ca moi...)
Au moins, je peux pas dire que j'avais besoin de rien dire et de juste regarder, j'ai la route à cruiser...
Et l'histoire n'a pas non plus duré jusqu'à ce que je sois en panne de gaz *Dieu soit loué, je ne suis pas AUTANT quétaine...*
Par contre ,suite à cette odeur....familière... j'ai du m'arrêter.
J'ai évidemment compris...
Compris quoi je sais pas, mais compris bordel de bordel.

samedi 5 avril 2008

TU tut tut tutu pa la pappp

Il était tard, souliers mouillés , misère à marcher, odeur de plantes autour de moi
J'ai réfléchi, tout de même, tout haut
Everything'S gonna be okay.
Toujours une deuxième option .
Peut-être était-ce trop brouillé
Peut-être avais-je voulu trop marché
Et recule à la place.
Alors l'alcool ... c'Est pas mauvais hein ...
Tout ca peut attendre.
,Tout peut attendre , parfois
et gliiiissser lennnnttteeeeemmmeennnt.
OUI, lentement,
Simplement voir autre chose de si présent
et siii accessible
Sans les 400 routes . Donc, je disais , il était tard.

samedi 22 mars 2008

Jour de fête

Toutes les lumières éteintes, de la neige encore plus que par-dessus la tête, une autre idée s'envole ... la la la . Y'a mon préféré qui part, avec son harmonica et sa guitare, et il ne viendra jamais me voir, du moins pas en personne. Tant mieux, briser un fantasme , c'est nu. Demain, y'aura plein de gens, plein de vin. En ce moment, y'a que les petits sons dans la maison, des petits son tout pleins de sens ... Et moi qui ne voulait pas écouter! nonnn nonn nonnnn <
Ca court , les sons, ca brule , les sons, je crois... Avant le vin, et les gens, je lui ferai , oh pardon, je leur ferai des oeufs au sirop d'érable il ...eux ... adorent ca .

mardi 18 mars 2008

:)




                                                      Parfois, on fait erreur . :) 










mardi 11 mars 2008



I'm back, Jonquière, même si ca change pas grands choses pour toi, ville du Saguenay ! Tout ca pour dire que ma mi-session est terminée et que je retourne au train-train... 

C'est l'fun à "sawère" hein  ? 

Peut-être pas non, mais j'avais besoin d'un "article" ...

vendredi 8 février 2008

"you say you want a revolution ... "

Douce révolte. La plus déchirante de toutes. Elle a frappé tout doucement et qui prend maintentant place. C'est qu'un vieil ami qui saute dans son auto à chaque fois qu'il vous voit. C'est qu'une clope fumée trop lentement et ces pas qui restent trop longtemps à cette aguichante neige dans laquelle j'irais parfois faire un tour. C'est et ca ne resrtera qu'une personne qui vous pousse du coude en vous disant "ok, ok" pour vous faire fermer quand ce que vous voulez, c'est un sourire des plus chauds. C'est une douce révolte que seuls mes yeux et mes mains ne peuvent sentir. Bien sur, puisque le reste est engourdi. C'est un vieux cinoche dans lequel on ne peut pas attendre dehors pour avoir son billet. C'est cette bière que j'ai laissé sur le comptoir l'an dernier...C'est toujours un beat répétitif quand t'entends que la guitare. C'est qu'une autre de ces révoltes . Celle qui ne prend pas aux trippes, mais partout autour. Ce n'est même pas une écoeurantite aïgue ... C'est un état calme et non émotif constant. C'est surtout la certitude que l'on pourrait danser, mais qu'on reste au coin du bar à parler du beau temps et de la pluie d'Hier . C'est cet état dans lequel on reste assis mais où on bouge le plus. C'est le chapeau noir un peu haut de l'acteur qui rit pour pleurer.

dddd

Deep and strong...

Ces mots ont tellement étés pronnoncés de ma bouche ... (pas qu'ils ne soient vécus pas moi, mais ce sont des mots qui sortent souvent quand je suis ds le boutt...)Est-ce que la profondeur va avec la force, ca j'en ai aucune idée ...mais au moment où elle me demande: est-ce que c'est vraiment ta place , une voix plus forte qu'à l'ordinaire me dit : ne laisse jamais personne te bloquer le chemin.

mercredi 6 février 2008

points de suspension

Si j'avais les ailes d'un ange je partirais pour ...  peu m'importe la destination. Ce manque ou ce trop-plein doit être chronique. Dans mon cas, ca se fait seulement dans ma tête et j'agis que très peu souvent , mais tout de même (qu'une seule fois cela s'est réalisé) ... J'ai ce bordélique besoin de tout quitter , pour tout reconstruire, et ensuite tout requitter , et ensuite tout rereconstruire. C'est d'une clarté pour moi alors.... hum hum .... Hier dans ce cours, tout s'est transformé en suspens, tout s'est métamorphosé . stop. stop. stop. wôôô ... Et je me suis mise à pleurer. Moi qui braille tout le temps pour rien, la je l'ai fait pour tout. Complètement instoppable , je continuais à déblatérer et à bouger un peu trop mes bras. Vous savez, comme je le fais toujours un peu trop ... C,est que tout est un peu débalancé . D'ailleurs mes jambes aussi , se sont balancées et ont repris le rythme de mes reniflements sur le bureau. Pas de sentiments. Du moins pour ce furieux besoin de voir plus loin. 

jeudi 17 janvier 2008

Guantanamo

Bon, c'est simplement un post pour vous encouragez à aller signer une pétition ,( si bien sûr vous appuyez la cause)concernant la fermeture de la prison de Guantanamo , qui enferme des gens sans inculpation(sous prétexte de terrorisme...), Cette pétition vous permettra de donner votre point de vue à Bush (puisque ce sont les États-unis qui enferment les gens) et de vous sentir collectivement actif ...wow !:P Tout ça , dans l'espace de quelques minutes !

Et on le fait au : www.amnistie.ca 

Merci! 

jeudi 10 janvier 2008

Soir

Voila humm je suis un peu fripée par cette soirée non-attendue mais qui s'est révélée être très révélatrice . Je suis vraiment heureuse qu'a l'entrée nous n'ayons pas entendus de"woap woap pa la pa" mais bien un beat très cool. J'ai vu du très beau monde mais surtout connu des gens vraiment super qui méritent notre respect .

Qui êtes-vous ?

Ma photo
" Despite all my rage Im still just a rat in a cage" (bullet with butterfly wings, smashing pumpkins)