vendredi 15 mai 2009

mardi 17 mars 2009

Solllleeeiiiil:D

Il fait beaucoup trop beau ...
J'ai sorti mes ¨souliers de toèle¨

Et ouvert ma fenêtre , et enlevé quelques couches de trop , métaphoriquement bien sûr :)

mardi 24 février 2009

couverture saisonnière

Soleil de plomb et hallucinations précoces.

Pendant que je marche dans la rue, pendant que je secoue ce cerveau
qui a besoin de ne pas faire d'excès.

Pendant que j'observe la couverture hivernale, pendant que je regarde .rien. pendant que je marche pour oublier ce mal de tête qui revient toujours au même moment pendant que je fuis lentement ce que je ne veux pas voir et voit trop bien , je m'assois , sur le sol , et je m'y laisse le temps qu'il faudra bien pour que tout cesse de tourner trop vite

c'était un long mandat que je ne souhaite pas terminé

lundi 2 février 2009

Cette odeur de trop ...brise perdue, un mot muet exacerbé En un sentiment accru, une peine affable. crève une bulle, remplie d'air salin et de vents sablonneux dans mes cheveux cours dans l'air pourtant si froid glacé perçant mordant comme dans le mur du son. Comme j'aime ce froid débilisant. Au point d'y rester pantelante au point d'y courir, enfoncée , sous ,un cocon de 9 mois , ces aberrations connues font foncer mes poings dans une foule abjecte , perdue , voulant perdre son penchant naturel pour le pleignard, Criant se défouler jusqu'au sang jusqu'à la rage, jusqu'à la bave. Expier ses pêchés . Non religieux. l'antonyme de mes souhaités visages. antonyme de la vie. antonyme du bien. antonyme de ce que je désire ardemment. antonyme de mes dires. antonyme honteux découlant d'un sentiment déchirant .



-Show me the risk please
Leave me the rest I know-(Lola, Noir Désir)

samedi 6 décembre 2008

glaçon

 éxécrable nuit ou je ne ferme pas l'oeil
effrayant réveil ou je me mets à ne plus penser

glace effrayée 
de me voir si agitée.

j'ai cette peur ancrée de ne plus y penser , antithèse de mes anciennes nuits 
le temps est si long. le temps est si long et si mortel.
la vérité se cache sans cesse sous mon oreiller 
jusqu'à.
jusqu'à ne plus finir mes phrases jusqu'à ne plus avoir un petit espace pour penser d'autre chose
-que c'est bien ainsi...-


jeudi 4 décembre 2008


Ce soir , je savoure la fausse solitude d'une brosse familiale.
Je me permets de dire que je bois amèrement aux défaites .
Aux défaites sociales, mais surtout de l'humanité . Je me permets de dire 
que je bois à l'humanité. À tout ce que l'homme peut faire ou pas pour s'auto-suicider.

Quelques conversations révoltées et quelques bières m'aident à assumer ma révolte.(je sais j'en parle tout le temps de cette révolte et c'est pas demain la veille que je vais arrêter. )
Je bois aussi à l'absence flagrante de leadership qui s'est présentée sous mes yeux ce midi...et de lâcheté.

Oui, c'est un découragement. Oui . Parce qu'il en faut pour fesser plus fort. 

Je bois pour les certaines larves et mollusques que rien n'affectent et qui font partie de ma génération. Dont je fais partie. Par chance, personne de mon cercle d'amis n'en fait partie .merci.

Je bois pour mieux la vomir.
Et pour avoir plus d'espoir ...demain matin.








Une presque tempête sur le village
Et pour une rarissime fois, le calme plat dans ma tête.

Des éclats de glace atterrissent dans les fenêtres
d'ou je peux sentir le froid qui s'infiltre
seulement sur mes pieds

ma tête est au chaud. Comme il y a longtemps. Comme ...

Qui êtes-vous ?

Ma photo
" Despite all my rage Im still just a rat in a cage" (bullet with butterfly wings, smashing pumpkins)